Message du mois de mars 2022 :

∆ « On ne voit bien qu’avec le coeur, l‘essentiel est invisible pour les yeux » in Le Petit Prince d’Antoine de St Exupéry.

La recherche de données de Maria JAMIN en Pologne (Jewish Historical Institute) n’a pas ouvert de porte : noms de famille différents, impossibilité d’identifier la ville/le village de naissance (Kalon ou Kolon).

Pendant la Shoah, des dizaines de milliers juifs étrangers, enfants, femmes et hommes, furent conduits de France, vers les camps de la mort.

La plupart furent anonymes et laissèrent peu de traces : un nom, une date de naissance sur un mémorial, quelques informations sur une fiche administrative, RIEN d’AUTRE.

Pas d’histoire personnelle, pas de témoignage, aucune photo.

CE SONT LES PERDUS DE LA SHOAH.

Ici, vous retrouverez au fil du temps, les histoires personnelles de ces juifs étrangers que nous tentons de documenter.

Ici, vous pourrez vous joindre à ce travail de mémoire pour que les « perdus  de la Shoah » retrouvent quelques morceaux de leurs histoires personnelles.

POUR QUE LA TRANSMISSION SOIT ASSUREE.

REJOIGNEZ NOUS,    FAITES NOUS CONNAITRE

Maria JAMIN – 1912 / 1942 : assassinée à 30 ans, les seules traces de son histoire personnelle…